Source : Le parisien

 

Le Parisien fait savoir que « des éléments nouveaux ont été communiqués hier, lors d’un colloque organisé par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques », sur le fait qu’« après un accident en radiothérapie, les douleurs des patients sont terribles ».

Le journal note que « le Pr Patrick Gourmelon, de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, a précisé que «l’on ne comprenait pas les mécanismes de cette douleur, qui résiste aux opiacés. On est hors des schémas thérapeutiques classiques» ».

Le quotidien indique ainsi que « la seule approche un peu efficace est une technique de pointe, dite de «thérapie cellulaire», expérimentée sur deux patients victimes de l’accident de radiothérapie d’Epinal, qui présentent n grand délabrement physiologique» ».