* Source : APM

Titre : Surirradiés d'Epinal: l'ex-directrice de l'hôpital estime avoir été laissée seule pour informer les malades (par François BOISSIER).

PARIS, 11 octobre 2012 (APM) - L'ex-directrice de l'hôpital d'Epinal a estimé mercredi, au procès des surirradiés d'Epinal qui se tient au TGI de Paris, qu'elle a été laissée seule, par les médecins et les tutelles, pour informer les malades ayant des complications et s'occuper d'eux.

Dominique Cappelli, qui fait partie des prévenus, s'est vue reprocher notamment une "abstention de porter assistance" aux patients surirradiés, en n'informant pas tous les patients à risque. Longtemps interrogée par le président mercredi, très émue et fréquemment en pleurs lorsqu'elle évoquait les souffrances des victimes, elle s'est cependant fermement défendue, comme elle l'avait fait au début du procès (cf APM HMPIQ001).

Estimant avoir été "trainée dans la boue", "prise pour une idiote" et avoir servi de "bouc émissaire, de victime expiatoire", elle a donné sa version des faits en affirmant à plusieurs reprises n'avoir "plus rien à perdre"...

Etant donné le caractère récent de cet article, son accès est soumis à identification sur le site de l'APM.

 

* Source : lequotidiendumedecin.fr

Titre : Surirradiés d’Épinal : la directrice de l’hôpital dénonce l’attentisme des médecins et de l’administration.

Au neuvième jour du procès des surirradiés d’Épinal, Dominique Cappelli, ancienne directrice du centre hospitalier Jean-Monnet (Vosges), s’est présentée face aux juges en tant que « bouc émissaire » et « victime expiatoire » du drame de santé publique qui a touché près de 450 patients entre 2001 et 2002. Poursuivie pour non-assistance à personne en danger, elle affirme avoir géré les accidents de radiothérapie, « avec les moyens du bord, seule dans (son) coin »...

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