* Source : APM

Titre : Surirradiés d'Epinal: les manipulatrices décrivent un service où il y avait peu de communication

PARIS, 4 octobre 2012 (APM) - Le service de radiothérapie de l'hôpital d'Epinal tel qu'il fonctionnait à l'époque où sont survenues les surirradiations de patients était très fermé et il y avait peu de communication entre les médecins et les autres personnels, ont expliqué mercredi des manipulatrices devant le Tribunal correctionnel de Paris...

Etant donné le caractère récent de cet article, son accès est soumis à identification sur le site de l'APM.

 

* Source : HOSPIMEDIA

Titre : Judiciaire Les déclarations accablantes des experts dans le procès des irradiés d'Épinal

Les auditions des victimes du procès d'Épinal se sont déroulées les lundi 1er et mardi 2 octobre, suivies des auditions des experts : Didier Peiffert, radiothérapeute au centre Alexis Vautrin de Nancy, Alain Noël, radiophysicien également au centre Alexis Vautrin, et Jean-Marc Simon, radiothérapeute à La Pitié Salpêtrière (AP-HP)...

Etant donné le caractère récent de cet article, il peut être lu sur le site HOSPIMEDIA.

 

* Source : AFP

Titre : "Bricolage" au service radiothérapie d'Epinal, mais le radiophysicien a ses raisons.

Surcharge de travail, logiciel peu sûr, contrôles absents: le radiophysicien de l'hôpital d'Epinal, prévenu au procès des patients irradiés dans cet établissement, a contre-attaqué mercredi face au tribunal, effrayé par sa description d'un "bricolage" médical...

Etant donné le caractère récent de cet article, il peut être lu dans son intégralité en cliquant sur le lien suivant :

http://fr.news.yahoo.com/bricolage-au-service-radioth%C3%A9rapie-depinal-radiophysicien-raisons-170919334.html

 

* Source : L'Humanité, diffusion : 49176

Titre : Une culture de sécurité à contruire.

Le scandale d’Épinal a révélé les lacunes de la sûreté dans le domaine de la radiothérapie. Le manque de personnel et l’évolution des techniques sont également en cause.

Les radiothérapeutes le disent, l’accident d’Épinal a été un véritable coup de tonnerre dans la profession. En France, chaque année, plus de 200 000 personnes porteuses d’un cancer sont soignées par radiothérapie. Un outil thérapeutique qui a fait ses preuves et sauvé des vies. Mais un outil qui ne doit pas être dangereux et nécessite des contrôles et une sécurité à toute épreuve. Or, avant Épinal, « la culture de la sûreté était plus développée dans l’aéronautique et le nucléaire que dans le secteur de la santé », reconnaît Jean-Luc Godet, directeur de la section rayonnements ionisants et santé à l’Autorité de sûreté nucléaire. « Le sujet était réglé entre le médecin et le patient », résume-t-il...

Etant donné le caractère récent de cet article, il peut être lu dans son intégralité sur le site http://www.humanite.fr/societe/une-culture-de-la-securite-construire-505530

 

* Source : L'Humanité, diffusion : 49176

Titre : "Un feu intérieur nous dévorait"

 

* Source : L'Est Républicain, par Eric Nicolas

Titre : Surirradiés d’Épinal Les deux radiothérapeutes et le radiophysicien ont été entendus sur le changement de technique qui a engendré les surexpositions à 20% « Une impression de bricolage… »

 

* Source : lequotidiendumedecin.fr

Titre : Procès des surirradiés d’Épinal : le radiophysicien s’explique

Joshua Anah, le radiophysicien impliqué dans l'affaire des surirradiés d'Épinal.

Auditionné mercredi après-midi, au sixième jour du procès, le radiophysicien Joshua Anah a défendu son travail au centre de radiothérapie d’Épinal où il avait la charge jusqu’en 2007 du réglage des appareils dispensant les radiations. En mai 2004, le protocole de radiothérapie est modifié au profit d’un logiciel permettant de diminuer les rayons sur les organes proches de la prostate, changement qui suppose d’adapter le paramétrage assurant le calcul d’intensité d’irradiation.

Des conditions de travail difficiles ...

Etant donné le caractère récent de cet article, il peut être lu sur le site lequotidiendumedecin.fr