* Source : Ma santé Facile, d'après des sources AFP

 

Manque de personnel, de matériel, tensions avec les médecins: la radiophysique médicale a longtemps été le parent pauvre de la cancérologie, rendant "certain" le risque d'accident, a témoigné lundi au procès des irradiés d'Epinal un ancien représentant de la profession.

L'audition de Thierry Sarrazin, ancien président de la Société française de physique médicale (2006-2008), a dû mettre du baume au coeur à la défense des sept prévenus, dont deux anciens radiothérapeutes et un radiophysicien de l'hôpital d'Epinal où près de 450 patients ont été victimes de surirradiations entre 2000 et 2006.

Alors que la plupart des auditions depuis le début du procès, le 24 septembre, ont mis en lumière une accumulation de négligences de la part des trois principaux prévenus ayant abouti à deux dysfonctionnements distincts de la radiothérapie, Thierry Sarrazin a inscrit ces accidents dans un contexte de "difficultés des radiophysiciens à exercer leur métier" au début des années 2000...

 

Etant donné le caractère récent de cet article, il peut être lu dans son intégralité sur le site http://www.masantefacile.com/le-magazine-sante/l-accident-d-epinal-revelateur-d-une-radiophysique-en-souffrance/15764.html